• Kesto: 95 min
    Julkaisupäivä: 2010
    Otsikko: Jackass 3
    Elokuvalajit: Dokumentti, Toiminta, Komedia

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    Maa: USA, Ohjaaja Elokuva: Jeff Tremaine, Näyttelijät: Johnny Knoxville, Steve-O, Bam Margera, Writers Movie: Jeff Tremaine, Johnny Knoxville

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    IMDB-luokitus: 7.888, Latausten määrä: 19820, Elokuvanäkymät: 5009, Äänestysten lukumäärä: 5588
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  • Katso koko elokuva Kuoleman loukku (2001)



    Näyttelijät: Alan Alda, Morris Chestnut, Rose McGowan
    Maa: Yhdysvallat, Kanada
    Ohjaaja Elokuva: Euzhan Palcy
    Käsikirjoittaja: Benita Garvin



    Julkaisuvuosi: 2001
    Otsikko elokuva: Kuoleman loukku
    Kategoria: Draama
    Kesto: 110 min

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    IMDB-luokitus: 8.146
    Näytä laskuri: 18833
    Laske lataukset: 10405
    Äänten lukumäärä: 4579

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    Un voyage est un déplacement effectué vers un point plus ou moins éloigné dans un but personnel (tourisme) ou professionnel (affaires). Le voyage s'est considérablement développé et démocratisé, au cours du XXe siècle avec l'avènement de moyens de transports modernes et de plus en rapides et confortables, le chemin de fer d'abord, puis l'automobile et l'avion.

    Un voyage circulaire qui ramène le voyageur à son point de départ est un « périple ».

    Les personnes qui voyagent sont appelés « voyageurs », ou dans certains modes de transport « passagers ».

    Le tourisme est le fait de quitter son domicile, pour des raisons personnelles, pour une durée supérieure à 24 heures. Ce qui implique la consommation d'une nuitée auprès d'un hôtelier et éventuellement la réservation de titre de transport.

    Initialement uniquement rattaché aux loisirs et à la santé, le tourisme englobe désormais également l'ensemble des activités économiques auxquelles la personne fait appel lors d'un déplacement inhabituel (transports, hôtels, restaurants, etc.).

    Il peut s'agir, par exemple, d'un voyage d'affaires (on parle alors de « tourisme d'affaires ») ou d'un pèlerinage religieux (« tourisme culturel »). On peut également se faire soigner dans un autre pays que celui dans lequel on réside, on parle alors de tourisme médical.

    Pratiquer le tourisme permet en outre de marquer des pauses dans son emploi du temps utilitaire imposé par la nécessité de gagner sa vie.

    Le touriste s'intéresse généralement à la culture ou aux paysages qu'il visite. Cette pratique a été longtemps l'apanage de gens fortunés qui pouvaient se permettre de voyager, pour voir des constructions remarquables, des œuvres d'art ou goûter d'autres cuisines.

    Le tourisme a donné naissance à une véritable industrie lorsque les classes moyennes des pays occidentaux (Europe et d'Amérique du Nord) ont pu commencer à voyager. C'est l'amélioration générale du niveau de vie qui a permis aux gens de se consacrer davantage à leurs loisirs, et notamment au tourisme, sans oublier les progrès considérables en matière de transports (transport maritime, ferroviaire mais surtout aérien).

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ //<![CDATA[ if (window.showTocToggle) { var tocShowText = "afficher"; var tocHideText = "masquer"; showTocToggle(); } // ]]></script> Histoire

    Les fondateurs britanniques

    Le mausolée du Taj Mahal en Inde.

    Bus de tourisme à Madrid, Espagne.

    Le Machu Picchu au Pérou.

    Stand de vente à Central Park, New York, États-Unis.

     

    L'Opéra de Sydney en Australie.

    La Grande mosquée de Kairouan est parmis les plus importants monuments islamiques en Afrique du Nord, Kairouan, Tunisie

    Les termes tourisme et touriste furent utilisés officiellement pour la première fois par la Société des Nations pour dénommer les gens qui voyageaient à l'étranger pour des périodes de plus de 24 heures. Mais l'industrie du tourisme est bien plus ancienne que cela.

    Pour qu'il y ait tourisme, quatre paramètres essentiels doivent être réunis:

    1. le goût de l'exotisme, de la découverte d'autres cultures ;
    2. de l'argent disponible pour des activités non-essentielles ;
    3. du temps libre ;
    4. des infrastructures et moyens de communication sécurisants et facilitant le voyage et le séjour.

    Le terme de tour devint populaire en Grande-Bretagne au XVIIIe siècle quand le « Grand Tour of Europe » (Grand Tour de l'Europe) devint une part de l'éducation des jeunes et riches gentilshommes britanniques. Pour parachever leur éducation et fuir le mauvais temps de leur île natale, nombre de jeunes gens allaient partout en Europe, mais surtout en des lieux d'intérêt culturel et esthétique comme Rome, la Toscane ou les Alpes, et les capitales européennes.

    Nombre d'artistes britanniques et européens dès le XVIe siècle faisaient le « voyage en Italie » comme par exemple Claude Lorrain. Si Rome, Naples et Florence attiraient depuis longtemps les visiteurs étrangers, c'est l'influence des poètes romantiques comme Lord Byron et William Blake qui rendirent la campagne, les Alpes, les torrents et les gorges de montagnes, populaires.

    Les aristocrates britanniques du XVIIIe siècle raffolaient particulièrement du « Grand Tour », profitant de l'occasion pour découvrir les richesses artistiques et archéologiques de l'Italie en particulier, et accumuler des trésors artistiques de toute l'Europe. Ils jouèrent un rôle prépondérant dans la naissance de l'archéologie, avec la découverte de Pompéi et Herculanum, notamment. Ils ont ramené ainsi des œuvres d'art dans des quantités jamais égalées ailleurs en Europe, c'est ce qui explique la richesse actuelle de nombreuses collections tant publiques que privées britanniques. Le tourisme de cette époque était fondamentalement élitiste, voyage d'agrément et de formation qui permettait de rencontrer ses homologues dans toute l'Europe.

    Le tourisme au sens moderne ne s'est pas développé avant le XIXe siècle ; il représente de nos jours la majeure partie de l'industrie touristique.

    Le début de l'industrialisation du tourisme fut une invention britannique au XIXe siècle, avec notamment la création de la première agence de voyage par Thomas Cook. Cela répondait aux besoins croissants de déplacement, pour toutes sortes de motifs, des Britanniques dont le pays fut le premier pays européen à s'industrialiser. Dans un premier temps, seuls les propriétaires des moyens de production, des usines, les commerçants et la nouvelle classe moyenne bénéficièrent de temps libre, mais aussi d'envies accrues de voyages, par exemple visiter les expositions universelles (la première exposition universelle a lieu à Londres en 1851 et draine plusieurs millions de visiteurs).

    Le tourisme se diversifie au cours du XIXe siècle : voyage d'agrément, voyage d'affaire, thermalisme, recherche du soleil à la froide saison, notamment pour soigner la tuberculose, fléau de l'époque.

    L'origine britannique de cette nouvelle industrie est attestée par de nombreux noms :

    • à Nice, la longue esplanade le long de la mer est encore connue comme la promenade des Anglais ;
    • dans de nombreuses stations touristiques de l'Europe continentale, les palaces ont des noms comme Hôtel Bristol, Hôtel Carlton ou Hôtel Majestic.

    Ce sont également des touristes britanniques qui inventèrent les sports d'hiver en Suisse dans le village de Zermatt. Avant l'arrivée des premiers touristes, les villageois de Zermatt considéraient simplement que leur long hiver enneigé était une période pendant laquelle la meilleure chose à faire était de rester à l'abri du froid et de fabriquer des horloges à coucou ou d'autres objets mécaniques.

    Le rôle du chemin de fer dans le développement du tourisme

    Le tourisme de masse ne commença à se développer que lorsque les moyens de transport eurent progressé et que le nombre de gens bénéficiant de temps libre eut augmenté. L'invention du chemin de fer et le développement du réseau ferré au XIXe siècle ont abouti à la croissance de villes au bord de la mer facilement accessible pour les citadins britanniques... Blackpool a été créé par la construction d'une ligne en direction de Fleetwood et quelques stations ont été promus par les sociétés de chemin de fer- Morecambe par Midland Railway et Cleethorpes par Great Central Railway. D'autres stations ont inclus Scarborough dans le Yorkshire, entretenant Leeds et Bradford; Weston-super-Mare dans le Somerset, approvisionnant les habitants de Bristol; et Skegness, été fréquenté par les résidants de l'Est industriel de Midlands. Les Cockneys de Londres ont afflué à Southend-on-Sea, principalement par bateau à roues à aubes de la Tamise et les stations de la Côte Sud tel que Broadstairs, Brighton et Eastbourne étaient seulement à un court trajet en train, avec d'autres plus loin comme Bournemouth, Bognor Regis et Weymouth.

    Pendant un siècle, le tourisme local était la norme, avec des voyages à l'étranger réservés pour les riches ou les personnes culturellement curieuses. Un certain nombre de destinations à l'intérieur des terres, comme le Parc national du Lake District et Snowdonia ont fait appel à ceux qui aimaient la campagne et les beaux paysages. Le camp de vacances a commencé à apparaître dans les années 1930, mais ce phénomène s'est vraiment étendu dans la période de l'après-guerre. Butlins et Pontins mirent en place cette tendance, mais leur popularité déclina avec la hausse des voyages organisés à l'étranger et le croissant confort auxquels les visiteurs sont devenus habitués à la maison. Vers la fin du 20ème siècle ce marché a été réanimé par les stations locales haut de gamme de la société hollandaise Center Parcs.

    Le tourisme colonial

    Un exemple de développement d'un tourisme dans les colonies est le cas des Indes néerlandaises. Entre 1890 et 1910, les publications de guides de voyage se multiplient. Le gouvernement colonial comprend le profit qu'il peut tirer de cet intérêt, et construits des relais d'étape à travers l'île de Java, les pasanggrahan. Entre 1900 et 1930, le tourisme par des Européens à Java connaît un essor remarquable. A Batavia, capitale de la colonie, un Travellers' Official Information Bureau publie des guides vantant les charmes des "Indes orientales". Le fabricant de pneumatiques Goodyear publie des cartes. De prestigieux hôtels sont construits à travers l'île. Ce développement est rendu possible par l'amélioration des liaisons maritimes entre Batavia et Singapour, principale colonie britannique dans la région et déjà un port important[1].

    Évolutions récentes

    Touristes sur le pont Charles, à Prague, République tchèque.

    Le temple des guerriers à Chichén Itzá au Mexique.

    Le touriste n'est plus seulement « toute personne en déplacement hors de son environnement habituel pour une durée d'au moins une nuitée et d'un an au plus» (définition de l'Organisation mondiale du tourisme) ; c'est un ensemble beaucoup plus vaste d'activités, de pratiques extrêmement variées. Si jusqu'en 1936 ils étaient l'apanage de classes sociales aisées, avec l'instauration des congés payés, il a connu un essor tout autre ; la masse des travailleurs et de leurs familles pouvant ainsi enfin se déplacer pour leur agrément. Cependant, à bien des égards, le tourisme (en tant que voyage) reste un luxe seulement accessible aux classes aisées et moyennes de la population des pays développés.

    Quelques tendances lourdes émergent ces dernières années. Tout d'abord, on observe un émiettement de la durée des vacances, avec pour corollaire un étalement de la « saison ». Cette tendance à l'émiettement contribue aussi à développer un tourisme de proximité. On observe également un goût plus prononcé pour l'itinérance : la mobilité s'accroît en fonction de la météo, des besoins familiaux, des envies du moment, des fêtes ou événements divers. Cette diversité des goûts et des pratiques contribue également au développement des séjours à thèmes. Ces facteurs impliquent une bonne connaissance des flux touristiques.

    Ces dernières années, en raison d'une diminution du temps de travail offrant à chacun plus de temps de loisirs mais aussi en fonction du coût de la vie qui, en augmentation constante, limite les dépenses, s'est créé le « tourisme d'un jour » qui prend de plus en plus d'extension.

    Le tourisme est également lié au monde du travail par le biais du tourisme d'affaires et par celui des pratiques appelées en anglais « incentive ». Le premier concerne toute l'offre touristique (divertissement, découverte) qui entoure les voyages d'affaires, les congrès, les séminaires, les salons - et la France est encore pour quelques années la première destination mondiale des salons et congrès. Le second (« incentive ») consiste en des voyages organisés pour le personnel d'une entreprise (en français : voyage de stimulation). Il peut comprendre des épreuves sportives ou ludiques, mais aussi des activités culturelles, en complément de séminaires ou de réunions.

    On observe que les pratiques se diversifient, s'entrecroisent, créant autant de niches pour les producteurs du tourisme. Une clientèle ne se définit plus par une pratique unique, une pratique ne définit plus un seul profil de clientèle.

    En République populaire de Chine, le tourisme et la consommation touristique ont fortement augmenté : en 2003, on estime que plus de 100 millions de Chinois ont parcouru et visité leur pays, en dehors des voyages pour motif familial[2]. Ce nombre a atteint 130 millions en 2008, alors que 46 millions de Chinois sont allés à l'étranger [3] [4].

    Economie

    Tourisme récepteur

    Statistiques de l'OMT, en millions d'arrivées internationales

    L'OMT a deux méthodes de calcul pour analyser l'évolution globale annuelle du tourisme. Il s'agit, d'une part les arrivées de touristes internationaux aux frontières et les recettes du tourisme international.

    Classement des dix plus grands pays touristiques du monde

    Arrivées de touristes internationaux, en millions de personnes.

    2007[5]

    2006[6]

    1. France France 81,9 M

    2. Espagne Espagne 59,2 M

    3. États-Unis États-Unis 56,0 M

    4. République populaire de Chine Chine 54,7 M

    5. Italie Italie 43,7 M

    6. Royaume-Uni Royaume-Uni 30,7 M

    7. Allemagne Allemagne 24,4 M

    8. Ukraine Ukraine 23,1 M

    9. Turquie Turquie 22,2 M

    10. Mexique Mexique 21,4 M

    1. France France 79,1 M

    2. Espagne Espagne 58,5 M

    3. États-Unis États-Unis 51,1 M

    4. République populaire de Chine Chine 49,6 M

    5. Italie Italie 41,1 M

    6. Royaume-Uni Royaume-Uni 30,7 M

    7. Allemagne Allemagne 23,6 M

    8. Mexique Mexique 21,4 M

    9. Ukraine Ukraine 18,9 M

    10. Turquie Turquie 18,9 M


    Recettes du tourisme international, en milliards de dollars U.S.

    2007[5]

    2006[6]

    1. États-Unis États-Unis 96,7 M

    2. Espagne Espagne 57,8 M

    3. France France 54,2 M

    4. Italie Italie 42,7 M

    5. République populaire de Chine Chine 41,9 M

    6. Royaume-Uni Royaume-Uni 37,6 M

    7. Allemagne Allemagne 36,0 M

    8. Australie Australie 22,2 M

    9. Autriche Autriche 18,9 M

    10. Turquie Turquie 18,5 M

    1. États-Unis États-Unis 85,7 M

    2. Espagne Espagne 51,1 M

    3. France France 46,3 M

    4. Italie Italie 38,1 M

    5. République populaire de Chine Chine 33,9 M

    6. Royaume-Uni Royaume-Uni 33,7 M

    7. Allemagne Allemagne 32,8 M

    8. Australie Australie 17,8 M

    9. Turquie Turquie 16,9 M

    10. Autriche Autriche 16,6 M

    Le rapport inverse entre France et États-Unis au niveau des arrivées et des recettes (1re place ou 3e place), s'explique par le fait que les séjours en France sont généralement du fait d'un tourisme de courte durée, les touristes se déplaçant souvent dans les pays voisins de l'Europe, eux-mêmes très attractifs, tandis qu'aux États-Unis, ce sont souvent des voyages de longue durée (en moyenne 3 semaines). De plus, la nature des touristes n'est pas la même (tourisme familial au lieu de tourisme d'affaire), ce qui fait que les dépenses sont bien moins grandes en France.

    Tourisme émetteur

    Dépenses de tourisme international, en milliards de dollars U.S.

    2007[5]

    2006[6]

    1. Allemagne Allemagne 82,9 Md

    2. États-Unis États-Unis 76,2 Md

    3. Royaume-Uni Royaume-Uni 72,3 Md

    4. France France 36,7 Md

    5. République populaire de Chine Chine 29,8 Md

    6. Italie Italie 27,3 Md

    7. Japon Japon 26,5 Md

    8. Canada Canada 24,8 Md

    9. Russie Russie 22,3 Md

    10. Corée du Sud Corée du Sud 20,9 Md

    1. Allemagne Allemagne 73,9 Md

    2. États-Unis États-Unis 72,1 Md

    3. Royaume-Uni Royaume-Uni 63,1 Md

    4. France France 31,2 Md

    5. République populaire de Chine Chine 24,3 Md

    6. Italie Italie 23,1 Md

    7. Japon Japon 26,9 Md

    8. Canada Canada 20,5 Md

    9. Corée du Sud Corée du Sud 18,9 Md

    10. Russie Russie 18,2 Md

    Note : les dépenses entre les deux premiers pays, l'Allemagne et les États-Unis, doivent être nuancées du fait qu'elles sont très influencées par le taux de change euro / dollar très favorable à l'Allemagne.

    Impact social et écologique

    Le tourisme est souvent une ressource économique locale mais qui parfois ne profite que peu aux populations autochtones et qui ne génère pas que des impacts positifs.

    Impact social et culturel

    Le tourisme peut générer des impacts "collatéraux"[7] sociaux-culturels (perte d'identité, acculturation, prostitution, folklorisation des sociétés traditionnelles, « consommation des mœurs »...)

    Impact écologique

    On distingue généralement trois types d'impacts environnementaux

    La dégradation des milieux naturels

    Ces impacts concernent surtout les dégâts environnementaux non compensés des routes, aménagements hôteliers, urbanisme touristique, ports, marinas, golfs, pistes de ski, parkings, pollution lumineuse, etc. et sont liés à la consommation de ressources naturelles pas ou peu renouvelables et à la surfréquentation ou destruction d'habitats et milieux naturels ou terres cultivables.

    Par exemple :

    "Empreinte écologique" liée aux transports

    L'empreinte écologique individuelle des touristes croît rapidement, de même que le nombre de touristes circulant dans le monde (Exemple : doublement en France de 1964 à 2004, passant de 200 à plus de 400 millions de touristes/an).
    Certaines formes de tourisme ont une empreinte énergétique particulièrement élevée (transports aériens, grandes croisières, etc.).
    A titre d'exemple, une étude[8] a montré qu'en 2006, rien que le transport généré par les touristes français a généré 6 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) du pays. 5 % des touristes ont émis 50 % du total des émissions liées au tourisme (rien qu'en se transportant sur leur lieu de vacances), et 10 % des touristes ont émis près des deux tiers des GES ». (environ 3 millions de personnes qui ont émis 15 millions de tonnes de gaz à effet de serre). Toujours selon cette étude, en 40 ans, le touriste français moyen a beaucoup évolué. Ses séjours sont plus courts (passant de 20 à 12 jours), mais plus nombreux (de 1,5 en 1968 à 2,2 en 2008) et plus lointains (+ 12 % à 19 % de séjours à l'étranger).

    L'avion est le premier contributeur aux émissions de GES des touristes, bien qu'étant encore le moins utilisé pour se rendre sur le lieux de vacances. En 2006, 7 % des touristes ont pris l'avion, contre 75 % qui ont utilisé leur voiture[réf. nécessaire]; pourtant ces avions ont produit 62 % des émissions de GES, soit 18,5 millions de tonnes, contre « une dizaine de millions de tonnes » pour la voiture (36% des émissions totales)[réf. nécessaire]. Les voyages de France vers des pays lointains (hors Europe et Maghreb) n'ont représenté qu'environ 2% de la totalité des séjours de 2006, mais ont émis 43 % des émissions du tourisme, soit 13 millions de tonnes de GES[réf. nécessaire]. Les séjours en France métropolitaine ont représenté 36 % des émissions de GES (10,7 millions de tonnes). Les trajets vers le Maghreb et l'Europe ont comptés pour 21 % des émissions (6 millions de tonnes de CO2). Ce bilan ne tient pas compte des impacts liés à la construction des routes, parkings et aménagements touristiques ni du tourisme d'affaire qui s'il avait été intégré dans cette étude aurait porté la part du transport touristique non pas à 6 % du total des émissions françaises, mais à 8 %[réf. nécessaire].

    La visite de grands sites naturels (quatrième place dans les activités liées aux déplacements les plus émetteurs) a en 2006 généré en moyenne 457 kg de GES par séjour, ce qui est le triple d'un séjour moyen[réf. nécessaire]. En France, les transports vers les zones de sports d'hiver génèreraient de moindres émissions de GES, grâce au TGV et à des destinations plus proches (limitées au territoire français)[réf. nécessaire].

    "Empreinte écologique" liée aux activités sur place

    Le nautisme à voile ou motorisé, la chasse, le quad, la motoneige, la pêche au gros, les safaris, la plongée sous-marine, ou même le surf ainsi que certains modes de logements (hôtels de luxe, climatisation, etc.) peuvent encore fortement augmenter l'impact écologique et énergétique du tourisme, ainsi que sa contribution à l'effet de serre. L'étude a ainsi montré que la minorité de touristes séjournant dans des hôtels trois étoiles et plus ou dans des clubs de vacances sont aussi ceux dont le déplacement a été (en 2006) le plus producteur de GES (36% du total des émissions générées par le transport touristique). Au contraire, les vacances dites "familiales" ont générés proportionnellement beaucoup moins de carbone (moins de 100 kg par séjour pour une famille résidant chez des amis ou dans la famille, mais ces derniers types de touristes font des séjours plus fréquents notent les auteurs de l'étude). Selon une autre étude[9], en France et en 2006, les déplacements automobiles de proximité ou moyenne distance, des week-end et vacances ont représenté 16% des émissions annuelles de CO2 des véhicules particuliers.

    Des formes de tourisme durable ou de tourisme solidaire tentent de limiter ces impacts et/ou les compenser (compensation carbone, tourisme éthique, etc.), voire souhaitent avoir davantage d'impacts positifs que négatifs écotourisme.

    Guides et presse touristiques

    Deux types de produits éditoriaux concernent le tourisme : les guides de tourisme et les magazines et revues spécialisées.

    Ce panorama de l'édition touristique ne serait pas complet si on omettait l'offre gratuite qui a deux sources principales :

    Outre leur gratuité, elles présentent l'inconvénient d'être limitées géographiquement dans le premier cas ou d'être limitées à une offre constituée et peu informative pour d'autres usages que ce à quoi la destine le tour opérateur dans le second cas. En définitive, elle ne sont pas concurrentielles avec la production éditoriale marchande.

    Les guides de tourisme

    Article détaillé : Guide touristique.

    Livre Hebdo, revue hebdomadaire du Syndicat national de l'édition consacre traditionnellement un numéro spécial au tourisme et aux voyages en mars, chaque année.

    Le lac Pukaki et le mont Cook en Nouvelle-Zélande.

    London eye à Londres, Angleterre.

    L'édition touristique : ce sont 1 150 ouvrages publiés en 2000 par l'édition francophone, principalement des guides de voyages. Les objets principaux des guides de voyage sont :

    Le marché est très concentré, dominé largement par le trio Hachette - Michelin - Gallimard qui à eux seuls représentent environ 80 % du marché - mais des éditeurs de taille plus modeste se taillent des parts considérables, par exemple Le Petit Futé, avec en 2000 une production de 300 titres. Certains guides accueillent de la publicité, présentée clairement en tant que telle.

    L'édition touristique se caractérise également par une production de niche :

    • Rivages : avec les destinations de charme (un profil de clientèle),
    • Autrement : approche littéraire des destinations, à travers le regard d'écrivains, (un profil d'écriture),
    • Parigramme : plus de 100 titres consacrés exclusivement à Paris, notamment avec la collection Le Guide du promeneur (une destination unique),
    • Editions du Plaisancier : consacré exclusivement à la navigation de plaisance, (une activité unique pour une clientèle très ciblée),
    • Guides CitySpeaker : une collection de guides culturels et pratiques à télécharger sous la forme de fichiers audio, lisibles sur un baladeur numérique,
    • Rando Editions : spécialisé sur les ouvrages de randonnées dans les Pyrénées, (une destination unique et une activité unique).
    • ou encore Solilang dont Repères de vie quotidienne proposent aux voyageur de faire des expériences de voyage, en partageant leur vie de tous les jours.

    De plus, contrairement à d'autres domaines éditoriaux, les éditeurs provinciaux, parfois liés à des groupes de presse importants, ce qui favorise leur diffusion locale, sont très bien représentés : par exemple, Ouest France ou Rando Editions.

    Les Chutes Niagara au Canada et aux États-Unis

    Contenu éditorial

    L'approche dominante des ouvrages produits par l'édition touristique est une approche par destination géographique.

    Ces dernières années émerge un nouveau type de guide, par clientèle-cible : par exemple, la Collection Petits Voyageurs des Editions Milan, ou encore Ado-guide lancé par les Editions de La Martinière.

    Une autre approche est possible : l'approche thématique.

    La plus ancienne et la plus fortement établie est celle consacrée à la restauration et à l'hôtellerie (guide Michelin "rouge", Gault-Millau, le Bottin Gourmand). L'approche thématique s'élargit à d'autres domaines : écologie, sports, religion, qui correspondent à des pratiques des touristes, ou à des domaines de l'offre :

    • Guide des vacances écologiques des Editions du Fraysse,
    • Jardins de France des Editions Actes Sud,
    • ou encore Séjours équestres édité par la Fédération nationale des Gîtes ruraux,
    • et aussi des guides de campings
    • etc.

    L'île de Moorea en Polynésie française

    Une des conditions de la réussite de l'édition touristique est de coller au plus près aux évolutions du tourisme, aussi les niches thématiques sont-elles particulièrement adaptées.

    Distribution

    Le Syndicat national de l'édition évalue la vente d'ouvrages de tourisme à plus de 11 millions d'exemplaires, soit un peu plus de 75 millions d'€. de chiffre d'affaires. Ces ouvrages sont vendus majoritairement sur support papier dans les librairies qui sont nombreuses à avoir un rayon spécialisé « Tourisme, voyages ». Par exemple, pour les FNAC, le rayon tourisme représente 15% de l'activité librairie, (et occupe environ 45% du linéaire sciences humaines) ou encore, chez Ombres Blanches, libraire toulousain, le tourisme fait l'objet d'un magasin à part, fortement identifié. De nombreuses grandes villes ont au moins une librairie spécialisée : Paris, Lyon, Montréal, Bruxelles, Lille, etc. (cf. annexe 2c : liste des librairies spécialisées).

    Lectorat

    Le "Lone cypress", passage incontournable de la "17-Mile Drive", baie de Monterey, Californie.

    Les utilisateurs de guides n'hésitent pas à acheter plusieurs guides : environ 2,5 guides pour un voyage, soit au moins un guide généraliste avec hôtellerie restauration et un guide plus culturel. Environ 68 % des 40 millions de Français qui partent en vacances au moins une fois par an achètent des guides de tourisme. De plus, il faut noter l'usage qui se développe d'acheter plusieurs guides pour la région où l'on habite, ce qui est le pendant du développement du tourisme de proximité.

    Les guides de tourisme sont utilisés traditionnellement pendant le voyage, d'où pour beaucoup une taille adaptable à la boîte à gants de l'automobile. Un certain nombre de guides (les mêmes que les précédents ou d'autres) ont une fonction préparatoire au voyage, ou encore une fonction de souvenir.

    Dans le premier cas (préparation du voyage), on trouve notamment les ouvrages précis et rigoureux avec des informations factuelles à jour : ils servent à déterminer l'itinéraire, les visites projetées et servent aussi à budgétiser le voyage. Dans le deuxième cas (souvenir), on trouve des ouvrages comportant plus de rédactionnel destiné à compléter la connaissance du territoire découvert lors du voyage, une iconographie plus riche qui les range dans la catégorie des beaux livres illustrés.

    Nouveaux supports [modifier]

    Porte-clés en forme de Tour Eiffel, Paris, France.

    La palmeraie d'Elche, en Espagne.

    Vallée de Jiuzhaigou, province du Sichuan, Chine.

    La plupart des éditeurs de guides touristiques amorce en ce moment un virage vers les supports électroniques en ligne, tout en n'abandonnant pas le papier qui a pour lui d'être itinérant, quoique pesant, et qui présente de plus l'inconvénient majeur d'être obsolète quasiment dès sa parution, notamment pour les renseignements pratiques.

    Le guide sur support électronique, notamment en ligne, a pour lui d'être mis à jour instantanément. Il est particulièrement adapté à un public de niche, qui prépare activement son voyage, qui recherche des informations fiables et qui dispose d'outils informatiques et télématiques. L'édition de guides touristiques s'intéresse de plus en plus aux nouveaux supports, notamment mobiles.

    Un bel exemple sur support électronique est proposé par l'éditeur australien Lonely Planet (qui édite encore principalement sur support papier) dont le site francophone reçoit 80 000 visiteurs par mois en 2001, (il faut préciser que son site anglophone reçoit près de 3 millions de visiteurs par mois). Ce site n'est pas encore marchand, la fonction portail est privilégiée, mais Lonely Planet travaille à un projet de guide vendu directement en ligne. Des guides créés par LP sont déjà disponibles sur PSP pour certaines grandes villes européennes.

    Le Guide du Routard est l'éditeur de guides dont le site est le plus visité (en 2007, le site comptabiliserait plus de 700 000 pages vues par jour[10]), et son offre s'est désormais élargie à des guides audio, en partenariat avec Nouvelles Frontières, et des guides sur GPS, en partenariat avec le constructeur Navigon. Quant à Michelin, certaines bonnes adresses issues des Guides Rouges ou des Guides Verts sont désormais disponibles sur les GPS développés par la marque.

    Mais les guides francophones sont globalement en retard par rapport à l'offre sur support électronique des guides anglophones : le site lonelyplanet.com propose des extraits de chapitres à télécharger ; Rough Guides propose plusieurs solutions comme la consultation intégrale de guides en ligne, des podcasts, des guides sous forme de ebooks, des cartes interactives et des bonnes adresses à télécharger sur un iPod ; DK a lancé a lancé un nouveau site interactif consacré au voyage, basé sur les informations des collections Eyewitness [1]...

    Les revues spécialisées

    Dans le tourisme, les magazines sont nombreux. Chaque éditeur choisit un axe éditorial spécifique. Il peut s'agir des voyages et de la photographie, de la nature ou encore de la culture et de l'histoire. Depuis quelques années, l'axe régional a été également exploré avec des magazines dédiés à certaines régions françaises.

    On ne peut négliger les revues thématiques qui consacrent des rubriques entières aux voyages comme cela est le cas pour des magazines traitant d'équitation, de randonnée, de golf, de plongée, de pêche... mais également des grands quotidiens ou hebdomadaires pour lesquels la rubrique voyages est un incontournable qui fait rêver leurs lecteurs.

    Les guides de tourisme ont aussi des périodiques, comme Michelin avec Etoiles ou Le Petit Futé. D'autres guides fournissent du contenu rédactionnel via des partenariats avec les médias.

    Enfin, la presse professionnelle est également présente dans le domaine des voyages d'affaires, des congrès, des transports et tourisme et de l'hébergement.

    Notes et références

    1. Source : Bertrand, Romain, Etat colonial, noblesse et nationalisme à Java, Karthala, 2005
    2. Le Point, 11/05/2006, n°1756, page 99 [archive]
    3. China tourism heats up despite global economic cooldown China Daily 01/02/2009 [archive]
    4. Slowdown forecast for China's tourism industry China daily 8/01/2009 [archive]
    5. a, b et c http://www.tourismroi.com/Content_Attachments/27670/File_633513750035785076.pdf [archive]
    6. a, b et c http://www.unwto.org/facts/eng/pdf/highlights/highlights_07_eng_hr.pdf [archive]
    7. RISAL, « Expansion du tourisme international : gagnants et perdants » [archive]
    8. Étude de la D4E Direction des études économiques et de l'évaluation environnementale du Ministère français en charge de l'écologie (programme Gestion et Impacts du Changement climatique de la D4E)
    9. étude de l'Institut français de l'environnement (IFEN) publiée en août 2007
    10. Interview vidéo de Philippe Gloaguen, créateur du Routard, pour le blog www.be-noot.com, 24 mai 2007,

    Voir aussi

    Bibliographie M. Boyer, Le Tourisme, Le Seuil, coll. "Peuples et société", 1re édition 1972

    • Georges Cazes, Fondements pour une géographie du tourisme et des loisirs, Bréal, Coll. "Amphi géo", 1992
    • Pearce Douglas, Géographie du Tourisme, Nathan université, 1993
    • Rémy Knafou, Atlas de France : tourisme et loisirs: Volume 7, Relus-La Documentation Française, 1997
    • Jean-Michel Dewailly, Emile Flament, Le tourisme, Paris, SEDES, 2000 (ISBN 2-7181-9071-X)
    • Équipe Mit (Mobilité, Itinéraire et Territoires) de l'université Paris VII-Denis-Diderot, dirigé par Rémy Knafou
      • Tourismes 1, Lieux communs, Belin, coll. Mappemonde, 2002.
      • Tourismes 2. Moments de lieux, Belin, coll. Mappemonde, 2005.
    • Mathis Stock (coord.), Tourisme, lieux, acteurs, enjeux, Belin, 2003.

    Filmographie

    Articles connexes

    Liens externes

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    Le transport est le fait de porter quelque chose, ou quelqu'un, d'un lieu à un autre, le plus souvent en utilisant des véhicules et des voie de communications (la route, le canal ..). Par assimilation, des actions de déplacements et de conduction ont été dénommées "transports", comme le transport d'électricité, qui s'effectue sur des réseaux de câbles électriques, de gaz, de pétrole, au travers de conduites, les pipelines. En ce qui concerne le "transport" d'informations et les télécommunications, il vaut mieux utiliser le mot "transmettre"[réf. nécessaire].

    L'article qui suit concerne par conséquent, non seulement le transport per se, mais aussi ce qui conduit (oléoducs, gazoducs, câbles électrique), transmet (les courants forts ou les courants faibles tels que les signaux, messages, informations ..), fournit et approvisionne (gaz, électricité, eau, pétroles, ....) . Les voies de communications font partie des infrastructures de transport, comme les ouvrages d'art (ponts, tunnels ..) et les bâtiments (gares, parkings ...) associés.

    Sommaire

     

    1 Histoire

    <script type="text/javascript">// <![CDATA[ //<![CDATA[ if (window.showTocToggle) { var tocShowText = "afficher"; var tocHideText = "masquer"; showTocToggle(); } // ]]></script> Histoire

    Chevaux tirant une roulotte.

    Aujourd'hui ,un terrien parcourt en moyenne 4500 kilomètres par an, contre 1500 il y a 150 ans [1]

    Le transport par

    Avant la domestication, c'est l'homme qui transporte les marchandises. Les termes utilisés dans ce cas sont le "port", le "portage" ... Il "tire", il "pousse" et il propulse (une brouette, une bicyclette, un pousse-pousse ...) dès lors qu'il invente la roue. A la fin du XXe siècle, les Véhicule à propulsion humaine atteignent des records.

    La traction animale

    Article détaillé : traction animale.

    A partir de la domestication, l'animal devient le système de "portage" (bât), de propulsion ou de traction, d'une "charge", ou d'un "véhicule" (chars, charrettes, chariots, carrioles, voiturettes, voitures ...). Si le véhicule est tiré par un cheval, il s'agit d'un véhicule hippomobile Historiquement la propulsion animale a été prédominante pendant des millénaires, et retrouve des utilisations justifiées.

    Dans un autre registre, les pigeons ont été élevé par des Colombophilie, pour transporter des messages, ou des mammifères marins par l'armée pour récupérer des objets.

    La propulsion naturelle

    les cours d'eau permettent les échanges avec la force du courant, et l'itinéraire de la rivière.

    La marine à voile a longtemps assuré une part importante du commerce.

    Le vent contribue avec les insectes et notamment les abeilles la pollinisation, en transportant le pollen ou à déplacer les planeurs.

    La motorisation

    C'est le résultat de l'invention de la chaudière à vapeur et de la machine à vapeur (Denis Papin), puis de la locomotive, de l'automobile ... dès lors que la vapeur est utilisée pour mouvoir un véhicule ; en même temps, différents types de carburants sont inventés ou utilisés, pour améliorer la puissance des moteurs, plus tard pour les rendre moins gourmands : le gaz, l'essence et le pétrole dans le moteur à explosion utilisé sur les véhicules automobiles, l'électricité de la pile électrique, la pile nucléaire dans de rares sous-marins, la pile à combustible, pour fournir de l'électricité au travers de turbines ou directement à un bobinage (moteur électrique), enfin déjà ou dans le futur, de l'hydrogène.

     

    Fonctions

    On distingue le transport de personnes et le transport de marchandises. Le transport de personnes, comme le transport de marchandises, peuvent être effectué pour compte propre, lorsqu'il n'a pas pour objet de transporter autrui dans un but lucratif, ni ses marchandises. Il est dénommé transport pour compte d'autrui, ou "transport public", dès lors que ce ne sont plus ses propres biens qui sont transportés. Le transport de personne peut être "individuel" ou "collectif", dans le cas des transports en commun.

    Toutes ces catégories de transports se combinent entre elles, et contribuent à la description d'un des métiers du transport : par exemple le transport collectif de personnes (autocaristes), ou son transport individuel (taxi) ; le transport de marchandises pour compte d'autrui (transporteur de marchandises) ou le transport de marchandises pour compte propre ("louageur") ... Les personnes physiques, comme les personnes morales ou les états (au travers de leurs services publics) peuvent exercer ces activités réglementées de transporteurs.

    On distingue souvent les transports urbains des grands axes interurbains, périurbains. En Europe, au milieu des années 1990, Les transports urbains consommaient environ 30% de l'énergie totale utilisée dans la plupart des villes ; et 80 % des transports urbains par véhicules à moteur étaient encore effectués en voiture [2].

    En France, selon le rapport de l'INSEE de 1999.

    • 36% des actifs travaillent dans leur commune résidentielle. Ils sont à l'origine de 8% des des distances parcourues, avec un déplacement ne dépassant pas 8 km
    • 33% des actifs parcourent moins de 10 km, ils sont à l'origine de 13% des distances parcourues en france
    • 17% des actifs travaillent entre 10 et 20 km de leur domicile. Ils réalisent 18% des distances parcourues
    • 9% des actifs se déplacent sur 20 à 40 km réalisant 17% des déplacements en france
    • Enfin, seulement 5% des actifs réalisent 44% des distances parcourues pour se rendre à leur lieu de travail

     

    Transport militaire

    Toutes les armes (armée de terre, armée de l'air, marine, gendarmerie) disposent de moyens de transports, pour transporter leurs personnels, leurs armes et leurs munitions. Outre leurs moyens propres, le service du train et le génie interviennent dans la logistique (transports, entreposage) pour stocker, transporter et détruire, améliorer ou construire des infrastructures.

    Transport sanitaire

    Le transport sanitaire est l'opération qui consiste à transporter un malade ou un blessé dont l'état justifie le recours à un transport adapté et assisté.

     

    Moyens

    Modes de transport

    Les modes de transport sont généralement classifiés selon les voies de communication utilisées: transports terrestres (routier et ferroviaire ou guidés), les transports maritime et fluvial , le aérien.

    Le choix d'un mode de transport peut être effectué en fonction de la disponibilité du moyen de transport, de ses qualités (capacité, rapidité, sécurité, conformité au réglementations applicables aux marchandises, au commerce ...), et de son coût, par exemple. Pour le transport de marchandises dangereuses ou sensibles, la notion de sûreté est aussi prise en compte.

    Transport routier

    Transport routier

    Article détaillé : Transport routier.

    Le transport (et le déplacement) routiers qui s'effectuaient à pied, puis à la traction animale ont pris leur essor, avec l'invention du moteur, réduisant le temps de transport, à moindre fatigue.

    Dans de nombreux pays, le transport routier s'effectue toujours à grande échelle par des moyens humains (bicyclettes, ..) et à traction animale. Dans les pays industrialisés, il est effectué surtoût à l'aide des véhicules automobiles de tourisme ou industriels : voitures, camionnettes (véhicule industriel de moins de 3,5 tonnes de P.T.A.C., selon la législation française), camions et remorques. Le développement du transport routier motorisé, explique en grande partie l'internationalisation des échanges au niveau des continents, donc par la route, à grande échelle.

    Pour faire face à l'extension de la demande, et si le pays en a les ressources, le réseau routier est étendu et modernisé. Le réseau et les infrastructures peuvent même être spécialisés : aménagement de pistes cyclables, de couloirs d'autobus (voies réservées, construction de parkings sécurisés pour les camions ...

    Cependant, les gaz d'échappements ont des effets néfastes sur la santé et l'environnement, et ils contribuent à l'effet de serre. Les populations et les pouvoirs publics de nombreux états tendent par conséquent à faire réduire ces émissions, par des moyens politiques, en rédigeant, par exemple, des protocoles internationaux (Sommet de la Terre), (Protocole de Kyoto), (Conférence de Copenhague) et en tentant de les faire appliquer. Pour remédier à cela, diverses initiatives se sont développées, dont le ferroutage, qui consiste à faire transporter par trains, les camions. Cette méthode à néanmoins ces limites, car elle n'est rentable et réalisable que sur les longues distances. Une autre initaitive est le choix récent d'incitation à une utilisation massivement utilitaire du vélo en ville est un choix soutenable économique et de santé publique.

    Des organisations s'intéressent aussi au développement et à la gestion du transport routier :

    Transport ferroviaire

    Tramway à Bordeaux

    Article détaillé : Transport ferroviaire.

    Le transport ferroviaire s'effectue sur des voies ferrées, et comprend, par conséquent, le train, le métro et le tramway.Il présente par conséquent de nombreux avantages, sur les autres modes de transport :

    1. Le transport par voies ferrées est souvent plus rapide que par la route (système de guidage et absence d'obstacles).
    2. Il est relativement peu coûteux[réf. nécessaire] permet le transport de charges importantes.

    C'est le seul moyen de transport (avec certains navires à propulsion nucléaire) qui utilise massivement l'électricité comme source d'énergie. Le train électrique a une grande autonomie et une plus grande charge utile puisque l'énergie n'a pas besoin d'être stockée dans un réservoir. La fabrication de l'électricité, si elle est produite par des installations nucléaires, ne rejette pas de CO2 et est bon marché[réf. nécessaire]. Elle peut être non polluante si l'énergie est produite par les systèmes géothermiques, éoliens, marée-moteurs ou solaires. Il permet aux états sans réserves d'hydrocarbure d'améliorer leur indépendance énergétique à long terme.

    Ceci explique le succès grandissant du transport par voies ferrées de voyageurs au niveau de la ville et du pays (liaisons interurbaines, suburbaines et urbaines) et maintenant, aussi pour les marchandises, au niveau continental grâce aux trains à grande vitesse T.G.V. aux ponts et aux tunnels (Tunnel sous la Manche).

    Le transport ferroviaire de marchandises ou de personnes nécessite la mise en œuvre d'infrastructures de transferts, pour acheminer et transborder les personnes jusqu'à leur train, et la marchandises ou la remorque et le camion, jusque sa plate-forme, et pour effectuer ensuite l'opération inverse. Les infrastructures sont constituées de gares de voyageurs, de gares de triage, de chantiers de transports combinés (portiques, grues) ..

    Certaines organisations s'intéressent aux transports par voie ferrée, comme lL'Union internationale des chemins de fer (U.I.C.) [6]

    Autres transports terrestres guidés

    Article détaillé : Transport guidé.

    Il s'agit des modes de transports qui mettent en œuvre des véhicules guidés par un moyen mécanique ou électronique, comme le téléphérique, la télécabine, le train monorail et l'aérotrain, le train à sustentation magnétique, les remontées mécaniques, principalement pour le transport de personnes, le funiculaire et le train à crémaillère.

    Il ne faut pas oublier, pour les transports de marchandises, les systèmes de filoguidage utilisés principalement dans les entrepôts, pour diriger les chariots préparateurs ou élévateurs.

    Transport par installations fixes

    Article détaillé : Transport par installations fixes.

    Pour les produits chimiques liquides, il s'agit essentiellement des conduites adaptées au déplacement de liquides ou de gaz : oléoducs, gazoducs. Il ne s'agit pas à proprement parler d'un transport mais d'une fourniture, puisqu'il y a pas de véhicule, mais une infrastructure. Sur le même principe, mais mû par l'air pulsé, citons les réseaux pneumatiques tombés en désuétude, pour le transport de plis.

    Pour les produits solides, et sur de courtes distances, le déplacement peut-être réalisé sur bandes transporteuses, notamment pour les matériaux de construction, les minerais et la houille.

    A l'équivalent, citons pour les personnes, les tapis roulants et les escaliers mécaniques. Les téléphériques permettent de remailler un tissu urbain dense et au relief accidenté. Dans le sens d'un déplacement vertical, citons les monte-charges et les ascenseurs.

    Transport fluvial

    Une partie de Bugsworth Basin, Buxworth, Derbyshire

    Article détaillé : Transport fluvial.

    Le transport par eau (fleuves, voies navigables, canaux) revêt plusieurs avantages :

    • Il est très économique car peu coûteux en énergie,
    • Il est donc peu polluant
    • Il permet aussi de transporter des tonnages très importants à moindre coût

    Cependant, il est relativement lent et nécessite que l'entreprise qui utilise ce mode de transport produise un stock qui sera conservé sur le bateau, jusqu'à son acheminement.

    Il nécessite de mettre en œuvre des voies navigables et seuls les pays à l'hydrographie favorable peuvent en bénéficier largement. Les infrastructures sont constituées de ports fluviaux, d'écluses ...

    Son utilisation pour transporter des personnes est principalement réservée au tourisme, pour certains pays. D'autres pays ou certaines villes, plus maritimes ou insulaires, combinent le transport par voies maritimes, par fleuves et canaux (Venise) et les autres modes de transport de personnes, plus massivement. Un bac est un bateau à fond plat utilisé pour traverser un cours d'eau, un lac, un estuaire ou un bras de mer.

    Transport maritime

    Port de commerce de Brest

    La transmodalité se fait essentiellement via les conteneurs

    Article détaillé : Transport maritime.

    Le transport maritime a été le moyen de découvrir et d'explorer les continents nouveaux (découverte des Amériques, exploration des pôles) à partir desquels se sont développés ou intensifiés de nouveaux commerces (y compris le commerce d'esclaves) avec l'ancien continent, comme les routes continentales l'avaient déjà fait.

    Le transport maritime a gardé sa prééminence dans le transport de marchandises, car sur les longues distances, il reste, pour des charges importantes, le plus économique, parfois le seul disponible. Il participe aujourd'hui aux transports de carburants (pétroliers), gaz (méthaniers), de containers de déménagement et de marchandises. Le percement des canaux (canal de Panama, canal de Suez) a favorisé ce développement, en raccourcissant les distances. D'autres considèrent que la fonte de la calotte glaciaire des pôles, sous l'effet de serre, permettra prochainement d'ouvrir de nouvelles voies maritimes sécurisées.

    Pour ce qui est des échanges à courte distance (cabotage), il se pratique intensément sur toutes les mers intérieures, et relie les continents, contribuant à l'entretien ou au développement de cultures communes, comme la Méditerranée. Ces cultures pélagiques sont basées sur une histoire ancienne et commune et sur des échanges commerciaux privilégiés.

    Pour ce qui est des transports de voyageurs, si la vocation première du transport maritime était de transporter des troupes, des missionnaires, des émigrants en vue de la colonisation d'autres contrées, il s'est ensuite développé comme moyen d'agrément (croisières) ; pour de nombreux pays, il a toujours été et reste un moyen de communication fortement usité, sur des traversées courtes (de quelques minutes à quelques jours). Il participe aussi à de nombreuses missions scientifiques.

    La navigation maritime et océanique s'appuie sur une infrastructure constituée de ports maritimes, de ports en eaux profondes et de canaux. Ces ports peuvent être eux mêmes spécialisés, par exemple en France: réparation et construction navale (Nantes et Saint-Nazaire, en Bretagne, en redéploiement, La Ciotat en Provence) ; pêche (Fécamp en Normandie, Brest, Roscoff, Paimpol, Le Guilvinec, .. en Bretagne, La Rochelle en Poitou ; productions agricoles (soja, ...) et lignifères importées, disparues ou en voie d'anéantissement pour des conflits du travail à répétition (Brest, Bordeaux, en Aquitaine, Marseille en Provence) ; support aux missions scientifiques : Brest, Marseille ... enfin, supports à la Marine nationale (Cherbourg, Brest, Lorient, Toulon ...).

    Plusieurs organisations s'intéressent aux transports maritimes ; par exemple :

    • L'Association internationale de navigation (A.I.P.C.N.) [7]
    • L'Organisation maritime internationale (International maritime organization (O.M.I.) [8]

    Transport aérien

    Article détaillé : Transport aérien.

    Airbus A330-200

    Dernier mode de transport apparu au cours du XXe siècle, d'abord réservé à une élite, il s'est rapidement démocratisé, monopolisant les liaisons transcontinentales et éliminant les derniers paquebots transatlantiques. Dépendant à l'origine de la Marine, il en a conservé le vocabulaire (celui de la navigation aérienne). Il est ensuite devenu véritablement un transport de masse avec l'apparition des avions gros porteurs et les compagnies aériennes à bas prix.

    Sa suprématie est contestée par trains à grande vitesse sur les trajets de moins de trois heures. Il commence à rencontrer des limites à cause de l'encombrement du ciel, des nuisances sonores de plus en plus mal acceptées par les riverains des aéroports, par son coût énergétique important, enfin par son influence sur la dégradation de la couche d'ozone et l'effet de serre.

    Il s'adresse principalement aux voyageurs, mais le transport de fret aérien se développe de plus en plus avec la mise en service d'avions cargos spécialisés. Des alternatives plus économiques à l'avion ont été utilisées, ont disparu, et sont de nouveau à l'étude, comme le ballon dirigeable.

    Les réseaux de transport aériens s'appuient sur des aéroports et des héliports...

    Le transport aérien est observé, contrôlé ou animé par des organisations comme l'Organisation de l'aviation civile internationale (O.A.C.I.) [9]

    Le transport spatial en est encore à ses balbutiements.

    Transport multimodal

    Transport combiné

    Articles détaillés : Transport intermodal et Intermodalité.

    Pour aller d'un point à un autre, il est souvent nécessaire de combiner ces différents modes de transport. Il s'agit alors de transport multimodal, ou intermodal, ou plurimodal, ou combiné. L'expression transport intermodal désigne surtout le transport de marchandise, pour le transport de voyageurs on utilisera la notion plus générale d'intermodalité.

    Effets sociaux et économiques

    Sécurité et environnement

    La question de la sécurité

    La vitesse de circulation, variable, est en soi un facteur de risque qui fait de la sécurité des transports un enjeu important. Les questions de sécurité sont complexes et prennent en compte l'ensemble des éléments constituant un transport : le véhicule, le conducteur, la marchandise, les personnes transportées, les animaux et les infrastructures.

    La sureté : le transport de marchandises dangereuses

    Le Transport de matières dangereuses est réglementé, pour des raisons de sécurité. Au-delà, et depuis le 11 septembre, l'ouvrage de référence, réglementant le transport de marchandises dangereuses (A.D.R.) [10]aborde aussi les questions de sûreté, afin de limiter les risques d'attentats perpétrés avec des matières et des produits détournés de leur moyen de transport. Sur tout les véhicules qui transportent des matières dangereuses, figurent sur une plaque orange un code d'identification du danger, appelé parfois code Kemler et un numéro ONU qui indiquent quels types de matières est transportées dans le véhicule.

    La question de l'environnement

    Le transport est grand consommateur d'énergie ; il consomme la plus grande part du pétrole mondial. Il produit du dioxyde de carbone et toutes sortes de produits nocifs, pour certains responsables de la détérioration de la couche d'ozone et de l'effet de serre. C'est pourquoi, des politiques d'économies d'énergie liées aux transports sont mise en œuvre, parfois avec difficultés, au niveau global.

    Selon l'OCDE les transports génèrent :

    • 23% des émissions mondiales de CO2 pour un total de 7 milliards de tonnes de CO2 par an
    • Les voitures sont à l'origine de plus de 40% des ces émissions
    • Il est estimé que le parc automobile sera multiplié par 3 entre 2000 et 2050 pour atteindre 2 milliards de véhicules légers

    Pour mémoire, la quantité de dioxyde de carbone émise pour un même trajet diffère selon le mode de transport. Pour le trajet Londres-Édimbourg (600 km), le département britannique des transports [11]a calculé des quantités d'émissions moyennes par modes de transports et par passager :

    • en voiture : 71 kg (pour une moyenne de 1,56 passagers par voiture, soit 111 kg par voiture),
    • en avion: 96,4 kg
    • en train express: 12 kg
    • en autocar: 9,2 kg

    Pour les villes françaises, selon l'ADEME (France), un kilogramme d'équivalent pétrole (kep) permet de déplacer une personne :

    • 18 kilomètres en voiture
    • 31 kilomètres en 2 roues motorisé
    • 47 kilomètres en bus francilien
    • 64 kilomètres en métro de province
    • 140 kilomètres en métro parisien

    Les stratégies d'économies d'énergies sont techniques, fondées sur l'utilisation de sources d'énergie alternatives, mais nécessitent de mettre au point des systèmes de stockage de l'électricité (piles, batteries) efficaces et légers.
    Elles sont aussi basées sur la réduction de la consommation en énergie des véhicules, et aussi, indirectement, sur la réduction de la vitesse autorisée (voir réglementation routière, en France).
    D'autres stratégies consistent à réduire le poids de véhicules en utilisant des matériaux plus légers (matériaux composites), comme ceux utilisés dans l'aéronautique.

    Les stratégies comportementales visent au transfert modal vers le transport actif, non motorisé. La réintroduction de la propulsion humaine en particulier le vélo en ville est développée dans plusieurs pays d'Europe depuis les années 70, en particulier les Pays-bas. la marche à pied, les déplacements en roller ou trottinette en vélo permettent le transfert d'un temps subi de transport passif, vers un temps choisi d'activité physique bénéfique pour la santé.

    Divers états et/ou collectivités encouragent aussi le transport intermodal et l'utilisation des transports en commun, soit par l'incitation (campagnes dites de "sensibilisation", soit par la dissuasion : péages, réduction du stationnement et des voies de circulation automobiles (Paris, par exemple.

    Des progrès ont été fait en matière de carburants (désoufré, agrocarburant), filtres et pots catalytiques, et de nombreux pays ont interdit l'essence plombée, mais ces efforts ne compensent pas les effets de l'augmentation du nombre de véhicules dans le monde. Les transports terrestres motorisés et par voies d'eau sont aussi de par les infrastructures qu'il nécessitent le premier facteur de fragmentation écologique des paysages, reconnu comme un des premiers facteurs de recul de la biodiversité. La pollution lumineuse et la Mortalité animale due aux véhicules induite y ajoutent leurs effets.

    La question du transport des animaux

    Le 13 décembre 1968 fut signé à Paris la Convention européenne sur la protection des animaux en transport international, qui réglemente le transport des animaux.

    Le 22 décembre 2004 l'union européenne a effectué une refonte totale des règles en matière de bien-être des animaux pendant leur transport. Dans cette nouvelle réglementation, elle identifie tous les intervenants et leurs responsabilités respectives, elle renforce les mesures de surveillance et prévoit des règles plus strictes pour les longs trajets et les véhicules utilisés.

    • L'union européenne a également mit en place un système appelé TRACES, (TRAde Control and Expert System) qui assure la traçabilité et le contrôle de l'ensemble des produits d'origine animale et des animaux vivants lors de leurs mouvements et importations en Europe.

    Néanmoins, certaines organisations de protection des animaux, notamment le PMAF, dénoncent les conditions de transports des animaux sur de longues distances, parfois d'un pays à un autre pour des raisons économiques, pour être engraissés ou abattus.[12]

    Economie des transports

    Le site Données et Statistiques du Ministère du transport, de l'équipement, du tourisme et de la mer [13] fournit des données chiffrées sur les activités du transport de marchandises. [14]

    Milliers de tonnes transportées

    2001

    2002

    2003

    2004

    2005

    Fer

    80 910

    82 825

    78 261

    74 243

    65 769

    Voie navigable

    24 775

    26 527

    27 230

    27 500

    28 936

    Route compte d'autrui

    1 133 003

    1 129 152

    1 115 750

    1 200 249

    1 212 448

    Route compte propre

    783 301

    839 199

    798 392

    806 475

    784 915

    Total

    2 021 989

    2 077 703

    2 019 633

    2 108 467

    2 092 068

    En termes d'investissements publics, la route reste surfavorisée ; Par exemple, en France, 64 % des investissements faits en 2004 en transports ont concerné la route, contre 15 % pour le rail et 1% pour la voie d'eau[15].

     

    Réglementation [

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    Cet article adopte un point de vue régional ou culturel particulier et doit être internationalisé.

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    Le contrat de transport de marchandises [modifier]

    Le contrat de transport de marchandises est un contrat commercial. Il est matérialisé par un document dénommé différemment selon le mode de transport.

    • En transport routier de marchandises, le document se nomme légalement lettre de voiture (le transporteur est un "voiturier"), (anciennement ou usuellement récépissé de livraison, bon de livraison, ...) et lettre de voiture internationale pour les transports transfrontaliers. Ces derniers sont régis, pour un certain nombre de pays, pas la Convention de Genève (aussi dénommée Convention pour le transport de marchandises par la route, abrégé en C.M.R.), d'où le nom de C.M.R. donnée à ces lettres de voitures particulières.
    • En transport aérien de marchandises, le document se nomme lettre de transports aérien (L.T.A.).
    • En transport maritime de marchandises, le document se nomme un connaissement

    Le contrat de transport de marchandises, lorsqu'il est matérialisé à par un document, mentionne généralement ce qui est transporté (catégorie de marchandises, poids, volumes), les lieux de chargement et de déchargement, le nom du transporteur et celui du commissionnaire de transport, des mentions concernant la dangerosité, les sommes à encaisser, des instructions particulières de livraison, les incoterms ...

    Le type du transport

    Selon l'appartenance des moyens de transport (véhicule, conducteur), le type du transport de marchandises est différent. Le transport de marchandises est dénommé :

    • Transport pour compte propre, en mettant en place ses propres moyens, constitués d'un véhicule et d'un conducteur, même loués en exclusivité, pour transporter ses propres marchandises, ou des marchandises dont on a la garde, à condition que le transport ne soit qu'un accessoire ou un complément à l'activité principale portant sur les dites marchandises (transformation, par exemple).
    • Transport pour compte d'autrui ou transport public (qu'il ne faut pas confondre avec transport en commun), en mettant en place ses propres moyens, ou des moyens sous-traités, pour transporter les marchandises d'autrui.
    Les intervenants extérieurs et intermédiaires

    Le transport de marchandises mobilise des intervenants spécialisés, généralement commerçants :

    • Les commissionnaire de transport, dont le rôle est de mettre en œuvre les transporteurs, moyennant le règlement d'une commission. En transport routier, le commissionnaire de transport peut sous-traiter (pour plus de 15 % de son chiffre d'affaires) le transport qui lui est confié.
    • Les transitaires ou agents chargés d'effectuer les opérations de mise sous douane ou de dédouanement, c'est à dire des déclarations de douane pour le compte d'autrui, éventuellement des déclarations complémentaires particulières, pour le comptes des expéditeurs, des transporteurs, des commissionnaires ou des destinataires.

    Exploitation et exploitants

    La gestion d'un outil de transport s'appelle "exploitation". Lorsque l'exploitant gère le véhicule et l'infrastructure, le transport est dit "intégré". Par exemple, jusqu'à récemment, le chemin de fer français était géré par la SNCF (Société nationale des chemins de fer français) dans son intégralité (moyens et infrastructure). Pour désendetter l'entreprise publique, l'état a depuis séparé la fonction exploitation, tenue par la S.N.C.F. et la gestion des infrastructures, qui a été confiée au Réseau ferré de France.

    L'exploitation des moyens de transport n'est donc pas la gestion des l'infrastructure (voies de navigation, voies de circulation, voies aériennes). Elle nécessite souvent des compétences particulières, et conduit à la spécialisation des organisations dont elle est à la charge : ainsi, la RATP (Régie autonome des transports parisiens) exploite le métropolitain ou métro, le R.E.R. (Réseau express régional), le tramway parisien, et les autobus de la capitale et de sa banlieue, alors que les infrastructures sont entretenues par la S.N.C.F., la commune, la communauté de commune, le département, la région ou l'état, et par des sociétés sous-traitantes.

    Notes et références

    1. Dominique DRON
    2. Évaluation DOBRIS Agence européenne pour l’environnement 1994
    3. Association mondiale de la route (World road association) http://www.piarc.org 
    4. Syndicat international des transports routiers ou International road transport union http://www.iru.org [archive]
    5. Association internationale des transports publics [archive]
    6. [ http://www.uic.asso.fr [archive] Union internationale des chemins de fer]
    7. Association internationale de navigation (A.I.P.C.N.)http://www.pianc-aipcn.org [archive]
    8. Organisation maritime internationale (O.M.I.) http://www.imo.org/index.htm [archive]
    9. Organisation de l'aviation civile internationale [archive] (O.A.C.I.)
    10. United Nations Economic Commission for Europe - A.D.R. restructurée en vigueur au 1er janvier 2005 http://www.unece.org/trans/danger/publi/adr/adr2005/05ContentsF.html [archive]
    11. Département britannique des transports http://www.transport2000.org.uk/factsandfigures/Facts.asp#Pollution,emissionsandclimatechange [archive]
    12. http://pmaf.org/s-informer/nos-campagnes/transport.html [archive]
    13. Statistiques http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/ [archive]
    14. Evolution du transport nationale de 2001 à 2005, http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/rubrique.php3?id_rubrique=223 [archive]
    15. Rapport IFEN, L'Environnement en France, édition 2006

    Voir aussi

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    Voir « transport » sur le Wiktionnaire.

    Liens externes

    Sites institutionnels

    Transport et environnement

     


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